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lundi 22 juillet 2013

CONSERVATOIRE DE MUSIQUE DE TOURNAI

Cons de musique ou " Conservatoire de musique "
Les poteaux peuvent cacher des choses .... , il s'agit bel et bien du conservatoire de musique à la place Reine Astrid à Tournai. En ce mettant d'un autre angle face au bâtiment on peut voir les choses différemment !



ZINNEKOLOGIE

Zinnekologie, mot déformé du mot " Zinneke "
Les zinnekes, ce sont les personnes qui vivent à Bruxelles. Avec la garantie d’une diversité de langues, de cultures, d’origines, de couleurs, de problèmes et de solutions.

Restaurant " Les Connes " rue des Teinturiers



MADAME CHAPEAU

Madame Chapeau, de son vrai nom Amélie Van Beneden, est un personnage de fiction de la pièce de théâtre belge Bossemans et Coppenolle, pièce représentative de la zwanze et de l'humour bruxellois. Il s'agit d'une dame âgée, jouée par un homme travesti.
La Ville de Bruxelles lui a d'ailleurs rendu hommage avec un bronze grandeur nature dans la capitale (à l'angle de la rue du Midi et de la rue des Moineaux) et créé par l'artiste Tom Frantzen.
Une réplique célèbre de Madame Chapeau : « ça est les crapuleux de ma strotje qui m'ont appelée comme ça parce que je suis trop distinguée pour sortir en cheveux ! »
La pièce est régulièrement jouée au Théâtre royal des Galeries. Un des acteurs qui a souvent incarné ce rôle est Jean Hayet.
Billy Pitt interprète en 1938, ce rôle dans le film de 1938 de Gaston Schoukens.


Conçue pour assurer une dynamique entre deux rues, cette sculpture, précieux monument de la mémoire collective des Bruxellois et des Belges, rayonne par sa présence dans l'espace proposé à l'artiste. Elle contribue ainsi à relier "les gens qui passent" sur deux modes interactifs : l'espace du réel et le temps de l'imaginaire. Un gros plan sur la dame nous révèle une fois encore «la zwanze» de l'artiste : elle compte ses sous sans crainte des pickpockets, fréquents à cet endroit et les nargue avec son portefeuille inaccessible !
Madame Chapeau est l’un des personnages haut en couleurs d'une comédie de 1938 de Paul van Stalle et Joris d'HanswijckBossemans et Copenolle, mettant en scène les petits bourgeois du vieux Bruxelles. Cette pièce de théâtre fait partie du patrimoine culturel belge. 
Texte sur la plaque aposée à côté de la statue :


"Madame Chapeau"
Célèbre personnage d'une des pièces fétiches
du Théâtre Royal des Galeries
Bossemans et Coppenolle
qui illustre la sportive compétition
entre les équipes de football de
l'Union Saint-Gilloise et
du Daring Club de Bruxelles.


Madame Chapeau
rue du Midi au coin de la rue des Moineaux

INAUGURATION DU ROND - POINT RAOUL CAUVIN A ANTOING

Antoing, éclat de jeunesse pour le rond-point de la place du Préau qui accueille cinq des BD scénarisées par l’Antoinien Raoul Cauvin. «Combien je serais heureux de pouvoir garder un jour une trace physique de l’œuvre de Raoul Cauvin dans la ville», déclarait en octobre 2009 le bourgmestre Bernard Bauwens au terme de la réception organisée en l’honneur du célèbre scénariste de bandes dessinées, né à Antoing le 26 septembre 1938. C’est à ce jour chose faite avec l’inauguration vendredi soir du rond-point «Raoul Cauvin» à la place du Préau. Ce groupe de fresques sera d’autant plus remarquable et remarqué lorsqu’il sera prochainement illuminé par un éclairage intégré dans le sol. Fin 2009, c’est à Alain Valemberg que l’on doit l’idée d’organiser un hommage à Raoul Cauvin, un des plus grands scénaristes de la BD belge. C’est loin d’être un hasard si Alain souhaitait mettre en exergue le talent de son ami Raoul puisque, lorsqu’ils avaient quelques années de moins, les compères buvaient ensemble des «pintes» à la Grand-rue au café de la Terrasse… C’est dans ce bistrot, aujourd’hui disparu, que le jeune Cauvin relevait déjà l’attitude des clients, les anecdotes… et les notait dans un carnet ou dans un coin de sa mémoire. Après une formation en lithographie à l’institut Saint-Luc de Tournai, Cauvin s’est élancé sur le chemin de la bande dessinée avec le succès que l’on connaît, plus de 50 millions d’albums vendus à ce jour!

Enterrés mais vivants…
En mai 2012, le conseil communal approuvait le projet d’intégrer cinq BD de Cauvin dans le rond-point du Préau. Estimés à 58 000 €, les travaux débutèrent en septembre par le démontage des mâts et de l’ancien éclairage. Destinés à accueillir les œuvres, cinq voiles de béton (3 m, 1,83 m, 0,20 m) ont été disposés sur le pourtour du rond-point, le centre étant appelé à être fleuri. Restait à décorer les supports, un travail que l’équipe de l’ASBL «Art Mural» ne pouvait entreprendre qu’au bon temps… Décembre dernier, afin d’agrémenter le rond-point, la ville faisait placer de remarquables photos réalisées par Bernard Dewasme, graphiste à la commune. Ces autocollants, sur cadre en aluminium, seront réutilisés. Entre-temps, en séance secrète, le conseil communal avait porté son choix sur cinq bandes dessinées, les Tuniques bleues (Lambil), Céd (l) ric (Laudec), l’Agent 212 (Daniel Kox), les Femmes en blanc (Philippe Bercovoci) et l’incontournable… Pierre Tombal (Marc Hardy). «Certains Antoiniens ont été mis à l’honneur par Raoul. Ils ont été enterrés dans la série Pierre Tombal!», a précisé dans son discours le bourgmestre. On retrouve en effet les épitaphes de Daniel Bonnet, Rodolphe Roseau, Charles Blerbacque, Paul Legrain, Jean-Claude Simon, Yvon Mathieu et de Joseph Honorez. «Je n’ai pas participé au choix des BD. Il manque les Psy», explique M. Cauvin qui aurait souhaité une 6e fresque. «Je mentirai en disant que cela ne me touche pas. Je n’ai jamais cru qu’on exposerait mes œuvres. Dans un musée, oui, mais pas sur la place publique. C’est une première. Il n’y a même pas cela à Bruxelles», nous confiait-il avec humour. Coût final: 65 000 €.






MUR BD " DU COTE DE CHEZ POJE "

Du côté de chez Poje est une série de bande dessinée franco-belge, scénarisée par Raoul Cauvin et dessinée par Louis-Michel Carpentier. Elle fait suite à L’Année de la bière, des mêmes auteurs, mettant en scène le même personnage central. Les albums ont aussi été édités en néerlandais ( Bij Sjaak, tussen pot en pint ) et en dialecte Bruxellois ( In d'environs van bij Poje ).



Poje de Carpentier et Cauvin au-dessus la porte d'un magasin de nuit au coin de la rue de l'Ecuyer et de la rue des Dominicains. C'est tout ce qui reste d'une série de fresques qui ont décoré un restaurant snack.


MUR BD " L' ANGE DE SAMBRE "

Bernard Hislaire est né à Bruxelles, en Belgique, en 1957. Son enfance se déroule dans un environnement aisé et de haut niveau intellectuel. Son père, Jacques Hislaire, est journaliste pour la Libre Belgique. Sa mère, Anne-Marie Guislain est haut fonctionnaire au ministère belge des Affaires étrangères. Il commence à dessiner ses premières bandes dessinées à l'âge de 7 ans. À 13 ans et demi il fait la rencontre de Jean-Marie Brouyère qui le forme. Rapidement, il produit ses premiers dessins pour le fanzine Robidule et travaille son style à l'Institut Saint-Luc de Bruxelles. En 1975, à seulement 18 ans, il rejoint l'équipe graphique de Spirou où il écrit une courte histoire dans la section dédiée aux jeunes artistes. Peu après, il enchaîne avec un récit de 16 planches, Le Troisième Larron. Dès lors, il est soutenu par les plus grands scénaristes du journal, notamment Charles Dupuis et Raoul Cauvin. En 1978, il y publie avec Jean-Marie Brouyère Coursensac et Baladin avec de lancer la même année sa première série, Bidouille et Violette, publié en albums chez Dupuis entre 1981 et 1986. Pendant ce temps, il publie divers dessins humoristiques pour les journaux La Libre Belgique et Le Trombone illustré. Sa collaboration à l'hebdomadaire est célébrée par la critique, qui y voit l'un des rénovateurs de la bande dessinée franco-belge, aux côtés de Marc Wasterlain ou Yann.



L'Ange de Sambre d'Yslaire dans la rue des Chartreux. Les slogans, illuminés de nuit, font partie de l'ouvrage.

MUR BD " GASTON LAGAFFE "

Tous les adeptes de Gaston Lagaffe connaissent plus ou moins l'histoire de la naissance de ce anti-héros.
Avant de devenir un personnage de bande dessinée, c'est-à-dire, évoluant dans les cases d'une planche, Gaston a évolué au sein du Journal de Spirou, dans des illustrations humoristiques.Ainsi, il a participé à l'animation du journal, pendant presque une année, dans les pages rédactionnelles dont la célèbre rubrique le Fureteur.L'album n°1 de la "série définitive" et l'album n°0 de la "série classique" regroupent toutes ces images.
Les images parues en album ont été restaurées, coloriées et agrandies. De ce fait, nous sommes bien loin de la réalité de la naissance de Gaston, qui commença de manière très modeste, timide, et qui aurait pu passer inaperçue, si le personnage n'avait pas cette fantaisie naturelle qui le poussa à prendre de plus en plus d'importance dans le journal, jusqu'à en voler la vedette régulièrement à Spirou.Le journal de Spirou, en 1957, est composé de 28 pages. Trois procédés d'imprimerie sont utilisés par Dupuis : l'offset (pour la couverture), l'héliogravure (pour les pages de BD), et la typographie (pour les pages rédactionnelles).
Toutes les pages de BD et la couverture sont imprimées, en couleur sur face et en noir et blanc l'autre, sur un papier légèrement glacé qui avec le temps n'a pas trop jauni.Les pages 5-6 et 23-24 sont consacrées au rédactionnel et sont imprimées sur un papier différent (type papier journal). Il a quant'à lui très mal vieilli et a beaucoup jauni.C'est dans ces pages que va paraître Gaston. La qualité des dessins s'en trouve très amoindrie.

Encore dans la rue de l'Ecuyer, entre rue de la Fourche et rue des Fripiers, nous trouvons Gaston Lagaffe de Franquin, en train d'avoir un petit problème avec un grand yo-yo.


Statue de Gaston Lagaffe au Boulevard Pachéco proche du Centre belge de la bande dessinée.